jeudi 19 novembre 2009

Chevalier au Moyen-Age... Et évolution.

Retour en salle de cours, retour à la dure réalité, retour avec... Mme Pallares Cette fois ci nous étudions le moyen age, plus précisément le chevalier au moyen age.
Alors d'abbord un petit rappel de ce qu'est un chevalier au moyen age;
A savoir qu'il est d'abord, du XIe au XIIe siècle un simple paysan, un serviteur armé et prêt à se battre pour son seigneur, c'est seulement à partir du XIIIe siècle qu'être chevalier signifie faire partie d'une élite, c'est un honneur que l'on gagne par droit de sang ou par décision royale. Au XIV, être chevalier signifie être noble.
Notons que le chevalier ne combat pas nécessairement à cheval. Le chevalier peut être appellé un chevalier à la suite de la cérémonie d'adoubement, cérémonie lors de laquelle ses armes lui sont confiées et où le seigneur passe son épée au dessus des épaules du jeune chevalier.
Nous avons également fait la lecture de plusieurs textes (notamment écrits par Chrétien de Troy) mettant en scène des chevaliers tous plus héroïques et pros les uns que les autres...
L'univers médiéval de Kaamlott est tout droit tiré de l'imagination de Chrétien de Troy, écrivain contemporain auteur de toutes les histoires des chevaliers de la table ronde. Cependant, il est avéré qu'un chevalier nommé Arthur s'est battue contre les saxons lors de l'invasion de la Bretagne, même si l'on en sait pas plus, la légende du roi Arthur et de la quête du Graal continue de nous inspirer de nos jours, que ça soit pour rêver ou rire (Cf Le Roi Arthur, Kaamlott)
Le chevalier à évolué à travers le temps et continue toujours d'inspirer les hommes, nous en avons un exemple dans les cultissimes films de Gorge Lucas : Star Wars. En effet, les jedi, aussi appelés chevaliers jedi voient leur code d'honneur presque plagié des chevaliers moyennageux, adaptés à la sauce Sci Fi et en remplacent la religion par la "force". Et pour ceux qui ne connaîtraient pas encore Star Wars, l'essenciel à savoir est ici.

Art en pays d'Avignon.





Les vacances étaient à portée de main, mais avant ça, les secondes 9 avaient une dernière chose à accomplir... Nous avons pris le train à partir de la garre d'Arles pour arriver quelques minutes plus tard à notre destination... Avignon.
Débutant d'abord par un petit détour nous conduisant à un musée dont les murs ont été tagués par des vandales (...), nous avons continuer notre visite en Avignon par un rapide passage au Palais des papes avant d'entrée dans le musée du Petit Palais, et d'avoir un bref aperçut de la collections d'œuvres de Simone Martini, peintre Italien précurseur parmi ses pairs d'origine Siennoise, dont le travail influa fortement l'art Italien lors de la Renaissance. Peintures à l'œuf que l'on trouvait essentiellement dans les églises, ses tableau représentent exclusivement des scène, des motifs ou des personnages religieux.Que ça soit la madone à l'enfant, le Christ ou encore quelconque saint, tous y sont représentés de nombreuses fois, accompagnés de leurs fidèle auréole, oui mais pas n'importe lesquelles : les auréoles de Simone Martini, à la mode Siennoise de l'époque si on puis dire, sont fait avec des motifs travaillé cette fois avec des poinçon tout autour, c'est à dire un travail de longue haleine qui orne la tête de chaque saint ou saintes et retient toute notre attention. On notera également le fait que les fonds des peintures (comprenez les arrières plans) sont décorés avec des feuilles d'or, et oui : rien n'est trop beau pour orner la maison de dieu...

Architecture et Histoire d'Arles. Panoramas.



Je me souviens de cette belle après midi, nous sommes sortit du lycée après que Mr Nicoli se soit présenté, puis nous avons marché à travers la ville jusqu'à arriver au quartier de la Hauture, au couvent St Cesaire. Il nous a été dit qu'au moyen age, la ville d'Arles était l'un des principaux lieux de culte de France, comprenant facilement une vingtaine d'églises et de chapelles, d'art Roman comme Gothique. Nous avons continués notre route jusqu'au panorama sublombant toute la partie Nord de la ville jusqu'a l'abaye de Monmajour, là nous à été remie une carte de l'époque mettant en évidence toutes les églises de ville (dont un grande partie étaient visible depuis la place de la Major.
Enfin nous avons marché jusqu'a la rive ouest du Rhône, à Trinquetaille, puis nous avons comparé la vision que nous avions de la ville à notre époque avec une gravure ancienne de la ville. La disposition des batiments reste quasiment les mêmes, même si l'on note la disparition du port dans le quartier de la Roquette, la ville n'a pas tellement évoluée depuis l'époque.

Dossier : Perpigan, Visa pour l'image.








Pour continuer sur ma lancée de parler des sorties organisées par les professeurs d'HIDA, je vais maintenant enchainer sur notre paire de jours passé en pays Catalan, dans la belle ville de Perpigan.
On y retrouve alors nos amis de circonstance déjà rencontrés lors de leur venue pour les rencontres de la photo Arlésienne, mais pas de temps pour s'atarder sur les retrouvailles, nous partons déjà en leur compagnie visiter les différentes expositions à Perpigan.

Autant dire que ces deux jours ont été bien remplie : en effet nous avons visités la plus grande partie des expositions présenté, autant de photo choc, que d'artistiques : ça en fait des souvenirs...

Avant tout il faut savoir que depuis de nombreuses années, Visas pour l'image réunit des centaines de tirages photos dites de "photo-journalisme", habituellement utilisées pour illustrer des articles de presses sur papier ou sur internet.

Parmi les expositions vues on peut cité celles d'Alexandra Avakian : voyages en terres musulmanes, Sarah Caron : Talibanistan. Les superbes prises de vue en temps de guerre de Françoise Demuler "Hommage" retrace son parcourt en tant que photographe de guerre. Sur le même temps on peut également parler du travail en Somalie de Pascal Maître, un reportage photographique poigant d'une réalité oubliée de la Somalie, ainsi que "War is Personal" par Eugene Richard sur les combats en Irak qui durent depuis bientôt une décénie. On note aussi les surprenantes photos en Russie de de Viktor Drachev, les boulversantes et terrifiantes images de Collar City aux Etats Unis présentées par Brenda Ann Kenneally, les photos non censurées par le gouvernement des Etats Unis à Guantanamo de Brennan Linsley. On note également d'autres photos magnifiques, plus gaies, plus intimes, celles de Steeve McCurry en Inde notamment et de Ulla Lohmann.

Nous avons aussi visité l'Église des dominicains, transformée pour l'occasion par la marie en salle d'exposition pour Dominic Nahr, "voie sans issue", photos prises l'an dernier au moment de la rebellion des Tutsis appuyé par le Rwanda en république démocratique du Congo. "Barack Obama", dans la même salle, par Callie Shell témoigne de la logue campagne électorale du premier président noir des E.U par quelques photos touchantes et pleines d'humour.

Voila pour les plus importantes, ce séjour à Perpigan se sera révélé fort instructif tant pour notre culture personnelle que pour notre projet HIDA.

T.I.

Dossier : 40 ans de rupture, 40 ans de rencontre.


On pourrait presque parler d'un document d'archive en ce mois de novembre lorsqu'on parle des rencontres de la photo 2009 vue avec la classe HIDA, par ailleur la visite des expos et des ateliers SNCF ne fut pas necessairement aussi longue et instructive qu'on l'aurait souhaité. Mais par un soucis de synchronisation du programme d'HIDA de cette année et du carnet Dida, j'ai décidé d'en parler aujourd'hui. Mieux vaut tard que jamais donc !

C'est un lendemain de soirée de Féria que nous nous sommes aventurés dans les locaux délabrés de l'ancienne société PLM, la mine grisâtre et fatigué, nous sommes d'abord allés voir l'exposition d'un photographe totalement étranger à la culture japonaise ayant séjournée un certain temps dans la capitale nippone (aucune connaissance de la langue par exemple). Le résultat de son travail est sombre, glauque, voire presque malsain, en effet le résultat de son travail traduit le manque de contact et de communication avec les autochtones, et la froideur, la dureté des contacts humain qu'il eut durant son voyage.
Cadavre de rats, rue sombres et étroites, personnages à mine patibulaires et un certain nombre de photos érotique assez glauque m'ont donner une image assez négative, quoi qu'intéressante, de son travail.

Puis après avoir suivit la guide (qui transpirait littéralement d'amour pour les adolescents ça va sans dire), nous sommes arriver devant quelques photos de Marina Berio qui semblait avoir fait un travail sur les négatifs à première vue. (photo ci contre) En y regardant de plus près, on peut s'apercevoir qu'il s'agit d'un dessin au fusain d'un négatif, technique originale certes, mais dont le rendu reste plutôt confus et assez spécial à mon gout.
Pas le temps de s'attarder sur le travail étrange de Marina Burio, déjà la guide nous conduit à l'exterieur devant une assemblée de chaise vide : le spectacle de la Marie débute.
Performance attendrissante des acteurs quoique vraiment trop longue en comparaison de la visite des expositions, le public joue le rôle de toute la famille réunit des deux acteurs qui découvrent une malle pleine de photographie laissé par un oncle décédé.
Et enfin marche d'un quart d'heure à travers la ville jusqu'au musée Réatut où nous avons achevé notre visite par la découvertes d'œuvres d'art assez... Hum... Intéressante dans les différentes "chambres" du musée (lieux par thème ou sont exposés les œuvres d'art).

Peu de temps après Madame Pallares nous a relâchée dans la ville, nous laissant ainsi retourner à nos occupations de Feria :D.

dimanche 1 novembre 2009

Cours de musique antique...

Le visiteur de ce blog observateur remarquera surement que je n'ai pas écrit de puis un petit moment. Cet article sera consacré à notre dernier cours de musique. Remarquez qu'il y a un petit écart entre le cours traitant des Péplums et celui ci, c'est noté. Toutes les photos ainsi que l'article traitant des sorties D'Hida viendront bientôt.

Tout d'abord, on a écouté un extrait de "Hymne à Apollo", quelque chose qui ressemblait plus ou moins à ça : http://www.youtube.com/watch?v=8I0EgfFsJMk
(impossibilité de trouver la vrai version à moins qu'on nous aie donné le mauvais titre.)
Composé en 130 après J.C par un certain Nésomède de Trête, il s'agit d'un chant vocal masculin à mi chemin entre le parlé et le chanté. On note l'entente de percussion comme ce qui pourrait être un tambour à peau sur deux hauteurs ainsi que des grelots et surtout de la flute. Le chant est assez répétitif, on dit qu'il à un Ambitus réduit, et qu'il est monodique.

Un Ambitus est l'intervalle entre la note la plus grave et la plus aiguë d'une mélodie, et une monodie est le contraire d'une polyphonie soit le fait de jouer une seule mélodie.