jeudi 19 novembre 2009
Dossier : 40 ans de rupture, 40 ans de rencontre.
On pourrait presque parler d'un document d'archive en ce mois de novembre lorsqu'on parle des rencontres de la photo 2009 vue avec la classe HIDA, par ailleur la visite des expos et des ateliers SNCF ne fut pas necessairement aussi longue et instructive qu'on l'aurait souhaité. Mais par un soucis de synchronisation du programme d'HIDA de cette année et du carnet Dida, j'ai décidé d'en parler aujourd'hui. Mieux vaut tard que jamais donc !
C'est un lendemain de soirée de Féria que nous nous sommes aventurés dans les locaux délabrés de l'ancienne société PLM, la mine grisâtre et fatigué, nous sommes d'abord allés voir l'exposition d'un photographe totalement étranger à la culture japonaise ayant séjournée un certain temps dans la capitale nippone (aucune connaissance de la langue par exemple). Le résultat de son travail est sombre, glauque, voire presque malsain, en effet le résultat de son travail traduit le manque de contact et de communication avec les autochtones, et la froideur, la dureté des contacts humain qu'il eut durant son voyage.
Cadavre de rats, rue sombres et étroites, personnages à mine patibulaires et un certain nombre de photos érotique assez glauque m'ont donner une image assez négative, quoi qu'intéressante, de son travail.
Puis après avoir suivit la guide (qui transpirait littéralement d'amour pour les adolescents ça va sans dire), nous sommes arriver devant quelques photos de Marina Berio qui semblait avoir fait un travail sur les négatifs à première vue. (photo ci contre) En y regardant de plus près, on peut s'apercevoir qu'il s'agit d'un dessin au fusain d'un négatif, technique originale certes, mais dont le rendu reste plutôt confus et assez spécial à mon gout.
Pas le temps de s'attarder sur le travail étrange de Marina Burio, déjà la guide nous conduit à l'exterieur devant une assemblée de chaise vide : le spectacle de la Marie débute.
Performance attendrissante des acteurs quoique vraiment trop longue en comparaison de la visite des expositions, le public joue le rôle de toute la famille réunit des deux acteurs qui découvrent une malle pleine de photographie laissé par un oncle décédé.
Et enfin marche d'un quart d'heure à travers la ville jusqu'au musée Réatut où nous avons achevé notre visite par la découvertes d'œuvres d'art assez... Hum... Intéressante dans les différentes "chambres" du musée (lieux par thème ou sont exposés les œuvres d'art).
Peu de temps après Madame Pallares nous a relâchée dans la ville, nous laissant ainsi retourner à nos occupations de Feria :D.
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